Le Réseau National des Ressourceries et Recycleries a récemment été mis à l’honneur dans une tribune parue dans Libération.
Les ressourceries y sont citées comme l’une des premières alternatives à la fast fashion, incarnant une mode durable, éthique et respectueuse.
Cette parution n’est pas une simple mention, mais une véritable reconnaissance : celle d’un travail acharné, d’un chemin parcouru et d’une vision partagée. Elle illustre la conviction profonde qu’il est possible de consommer, produire et créer autrement dans le respect, l’éthique et le sens.
Le Réseau National des Ressourceries et Recycleries, ce sont près de 300 structures réparties en France métropolitaine et en outre-mer, dont certaines œuvrent depuis plus de 40 ans à construire une alternative à la surconsommation et à renforcer la solidarité.
Et si l’on y ajoute le travail remarquable d’environ 300 autres structures non adhérentes, le mouvement prend encore plus d’ampleur.
Aux côtés d’acteurs tels qu’Emmaüs France, Oxfam France, la Croix-Rouge française, la Fédération Envie ou encore les ateliers vélo de L’Heureux Cyclage, ce sont plus de 3 000 structures qui pratiquent aujourd’hui le réemploi solidaire : elles récupèrent, restaurent et redonnent vie aux objets, tout en créant des emplois, du lien social et des modes de vie plus sobres et durables.
Un travail exemplaire qui montre qu’on peut allier écologie, solidarité et bon sens au quotidien.
Cette mise en lumière souligne clairement l’engagement des ressourceries dans la lutte contre la fast fashion et pour une mode plus responsable.
Comme le rappelle le Réseau : « Nous ne sommes pas simplement contre la fast fashion. Nous sommes pour un monde où la mode respecte les personnes, les objets et la planète. Et nous sommes convaincu·es que ce monde, déjà, est en train d’advenir. »
Un message fort, porteur d’espoir et de sens : celui d’une société qui choisit d’agir autrement, dès aujourd’hui.
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